Supervielle JulesMontévidéo (Uruguay) 16/01/1884 A-A Paris 17/05/1960 |
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Taft BernardBerditchew (Russie) 14/09/1867 A-A Dinan 10/09/1939 |
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Taillebourg EmmanuelSaint-Brieuc 12/03/1884 A-A Meaux 12/03/1964 |
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Tassot FabienToulouse 04/06/1885 A-A Marseille 24/10/1918 |
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Tautain MarcelTaiohaé (Polynésie Française) 06/11/1894 A-A Courlandon 14/09/1918 |
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Tautain RenéTaiohaé (Polynésie Française) 29/04/1893 A-A Haussignémont 10/09/1914 |
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Tavan LudovicMarseille 13/12/1888 A-A Ambulance colonne mobile A, Oleveni (Macédoine) 27/10/1917 |
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Teissonnière PaulSauve 07/04/1872 A-A Pouget |
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Tenant JeanRives-sur-Gier 08/10/1885 A-A Saint-Étienne 30/01/1986 |
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Terrien AlbertParis 19/09/1879 A-A |
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Thierry AlbertMontargis 25/08/1881 A-A Aix-Noulettes 26/05/1915 |
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Thiéry HenriRethel 28/02/1879 A-A Charleville 29/12/1959 |
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Thiriet RobertDijon 13/01/1895 A-A Maisons-en-Champagne/Beauséjour 25/09/1915 |
Ma tristesse d’hier, d’hier et de naguère, Soudain disparaissait en un choc radical Non par le lent effet d’une pénible guerre Mais d’un vol spontané, facile et triomphal. J’étais exorcisé du regret dérisoire De ce Passé surfait, des cadavres d’Amours Qui végètent sans fin au tombeau de Mémoire Et de leur pourriture empoisonnent nos jours. J’étais prêt à lâcher cette fille gênante, La Pitié, qui s’accroche et fait buter nos pas, Et à briser les coeurs de ma race geignante Pour m’élancer pplus vite aux gloires des combats. Et je ne sentais plus, en mon âme allégée Des vieux autels détruis, ces boulets odieux, Qu’un éveil de musique allègre et forcenée, L’inextinguible rire où se plaisent les Dieux. |
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Thomas Paul-MarieVouneuil-sur-Vienne 12/04/1896 A-A Jonchéry-sur-Suippe 25/11/1914 |
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Thomas PierreParis 24/12/1881 A-A Paris 09/09/1940 |
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